mercredi 15 août 2007

Gourmandise

C'était aujourd'hui, jour de rédaction pour tous ceux qui participent à la Rédaction du mois dans la blogosphère. Je suppose que, dans toute la blogosphère, il y a plusieurs rédactions chaque mois mais il n'y en a qu'une qui compte, celle qu'a initiée Laurent, grand amateur, entre autres, de Nutella® (je lui aurais bien offert cette recette de macarons au Nutella®, mais il préfère le sien à la cuillère, à même le bocal ; pour les autres, la recette est ici).

Je n'ai pas participé cette fois à la rédaction dont le sujet était « Mon péché gourmand », mais si vous voulez lire ce que les collègues habituels ont publié sur ce sujet, vous trouverez, en plus de son texte, la liste des participants chez Laurent ou chez Jean-Marc (j'aurais normalement suggéré d'aller chez Olivier, mais il n'a pas participé non plus ce mois-ci ; je suppose qu'il apprécie encore trop intensément ses récents péchés gourmands - il revient d'Europe - pour s'en confesser ici et promettre de ne plus recommencer avant de faire pénitence).

Je n'ai pas de péché gourmand ; je n'aime que... tout ce qui est bon. En fait, je mange de tout, mais pas n'importe quoi. Je n'achète jamais de Nutella®, de croustilles, de biscuits, de bonbons, ni quoi que ce soit qui serait considéré comme un « péché ». Depuis quelques semaines, j'achète du chocolat noir, à 75 ou 90 % de cacao, mais c'est uniquement parce qu'on m'a conseillé d'en manger à cause du fer qu'il contiendrait. En fait, je sais que le chocolat noir de bonne qualité, à petites doses, est bon pour pour la santé. Pour m'encourager à en manger, puisque je ne raffole pas du chocolat, j'achète du chocolat à l'orange, au gingembre, au poivre, au citron, au café et même au... chocolat. J'ai la chance de trouver au coin de la rue un commerce qui tient une très grande variété de chocolats importés de partout : France, Italie, Suisse, Allemagne, etc.

Hier, cependant, en allant prendre un café dans un endroit comme il n'en existe pas beaucoup à Montréal, un véritable café italien où l'on ne sert que de l'espresso, que du café de très grande qualité, fréquemment importé d'Italie pour qu'il soit toujours frais, mon regard a été attiré par des couleurs vives, appétissantes. J'ai acheté ces croustilles de pommes de terre cuites dans l'huile d'olive et aromatisées à l'origan. Un délice !

Cette photo est de moi. Vous pouvez cependant consulter leur site Web pour voir les autres produits préparés par cette marque italienne.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Alors Alcib,
tu aurais donc réussi à te trouver un petit péché culinaire... Ne le néglige pas surtout: les péchés c'est comme les amis, il faut entretenir le lien régulièrement.

À propos du chocolat, une de mes grandes amies m'avait suggéré de déguster le chocolat avec un verre de bon vin rouge. Je n'ai jamais essayé mais il semble que les deux saveurs se rehaussent mutuellement et qu'on touche là au plaisir des dieux. À toi de tester.
Tu m'en reparleras?

P.S. Si je vais à Montréal, je vais goûter aux croustilles Trattoria. Merci pour l'information Alcib.

Lætitia Le Clech a dit…

Ces croustilles qui sont vendues un prix de fou ici et qui ne coûtent rien ou presque en Italie. C'est ça la vraie honte en fait !!
Pour le chocolat noir et le vin, c'est vrai...

Alcib a dit…

Lux, tu as raison : il ne faut rien négliger de ce qui fait notre bonheur.
Comme le confirme Fibula, il m'est souvent arrivé de manger du chocolat avec du vin rouge ; la plupart du temps, c'était au dessert, pour finir le vin du repas. Mais il n'y a pas de raison de ne pas s'accorder ce plaisir du vin et du chocolat en dehors des heures de repas, si on aime les deux.

C'est vrai, Fibula, que ces croutillent ne se vendent pas au Dollarama (où tout est à 1 $), mais il me semble que les marques vendues dans les supermarchés sont assez cher aussi.
Mon comptable n'aura pas besoin de me disputer car je n'ai pas l'intention de me mettre à manger tous les jours des croustilles, pas plus celles-ci que les autres. Mais j'aime bien, à l'occasion, m'offrir le plaisir de découvrir quelque chose qui, comme dirait Baudelaire, offre « une promesse de bonheur ».
Je me souviens d'une époque où je n'avais pas l'argent pour acheter un pain ; j'allais alors dans une charcuterie bien fréquentée et j'achetais du saumon fumé et d'autres bonnes choses et je payais par chèque en espérant qu'il ne soit pas encaissé avant que je n'aie l'argent dans mon compte.
En payant par chèque, je ne pouvais tout de même pas acheter uniquement un pain ;o)
Je connaissais toutefois une boulangerie, qui n'existe plus, où l'on m'avait dit un jour que je faisais une plaisanterie au sujet du paiement : « Il n'y a pas de problème ; vous pouvez toujours prendre un pain et le payer un autre jour. »